triomphaux. Enjambez les routes avec la louange des veuves obstinées. Usez du ciment, du faux marbre et de la boue séchée pour dresser les mérites de ces dames
Français
loukas59
Question
triomphaux. Enjambez les routes
avec la louange des veuves obstinées. Usez du ciment, du faux marbre et de la
boue séchée pour dresser les mérites de ces dames respectables, - c’est votre
emploi.
Je garde le mien qui est d’offrir à une autre un léger tribut de paroles, une
arche de buée dans les yeux, un palais trouble dansant au son du cœur et de la
mer.
* * *
Ceci est réservé à la seule Jeune Fille. A celle à qui tous les maris du monde
sont promis, - mais qui n’en tient pas encore.
A celle dont le cheveux libres tombent en arrière, sans empois, sans fidélité
– et les sourcils ont l’odeur de la mousse.
A celle qui a des seins et n’allaite pas ; un cœur et n’aime pas ; un ventre
pour les fécondités, mais décemment demeure stérile.
A celle riche de tout ce qui viendra ; qui va tout choisir, tout recevoir, tout
enfanter peut-être.
A celle qui, prête à donner ses lèvres à la tasse des épousailles, tremble un
peu, ne sait que dire, consent à boire, - et n’a pas encore bu. Bonjour j’ai un commentaire à faire la dessus je souhaiterai de l’aide svp merci bcp
avec la louange des veuves obstinées. Usez du ciment, du faux marbre et de la
boue séchée pour dresser les mérites de ces dames respectables, - c’est votre
emploi.
Je garde le mien qui est d’offrir à une autre un léger tribut de paroles, une
arche de buée dans les yeux, un palais trouble dansant au son du cœur et de la
mer.
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Ceci est réservé à la seule Jeune Fille. A celle à qui tous les maris du monde
sont promis, - mais qui n’en tient pas encore.
A celle dont le cheveux libres tombent en arrière, sans empois, sans fidélité
– et les sourcils ont l’odeur de la mousse.
A celle qui a des seins et n’allaite pas ; un cœur et n’aime pas ; un ventre
pour les fécondités, mais décemment demeure stérile.
A celle riche de tout ce qui viendra ; qui va tout choisir, tout recevoir, tout
enfanter peut-être.
A celle qui, prête à donner ses lèvres à la tasse des épousailles, tremble un
peu, ne sait que dire, consent à boire, - et n’a pas encore bu. Bonjour j’ai un commentaire à faire la dessus je souhaiterai de l’aide svp merci bcp